« Prenez la paix que je vous donne :
la paix de la vie cachée »

« Tu assaisonneras de joie
tout ce que tu donnes à Dieu et au prochain. »

« Je te demande un abandon d’enfant entre mes mains ;
c’est la seule paix que tu peux faire pour t’acheminer aux frontières du « moi » où tu trouveras ma Paix : le domaine de ton Dieu, son vivant Royaume.
Laisse-moi te donner ma Paix, 
promise aux âmes de bonne volonté. »

« Tu goûtes ma Paix, la paix de ma Grande Gloire. Comme la neige qui tombe en flocons si doux,  paisibles et serrés, ainsi ma Paix pour recouvrir ton âme comme d’un vêtement de pureté… Ma paix n’est pas la paix du monde ; elle est austère et réclame une atmosphère de pur sacrifice… Ma Paix ouate de silence le paysage de ton âme et l’habille de candeur…
Ma Paix, c’est la figure de Dieu sur toi, couvrant tes imperfections humaines… Ma Paix, c’est la Présence de Dieu sur toi qui rayonne, sa neige éblouissante, quelque chose de ma propre Gloire en toi. »

« Ma fille, on apprend beaucoup en se taisant devant Dieu :
on y reçoit l’empreinte de la Vérité,
et la vie peut s’écouler librement,
avec l’amour, en ce moule de Dieu.£
C’est toute l’Ecole de l’Heure Sainte :
On y vient pour apprendre Dieu dans la simplicité. »

«  Au milieu de la plus grande douleur, celle de la nature qui agonise, tu trouveras la plus grande joie, celle de me voir me substituer à toi, lorsque je triomphe de toi en toi.
Au milieu de la plus grande détresse, celle de la nature en travail de dénudement et de mort, tu trouveras la possession de ton Dieu vivant. » 

« … j’ai voulu que tu apportes des souffrances en hostie sur ma patène et des larmes dans mon calice. C’est Moi-même qui en ferai une hostie de jubilation et de louange.
Réjouis-toi d’une grande joie à cause de mon Sacrifice, à cause de ta participation à mon Sacrifice.
En vérité, voilà bien l’œuvre de la Rédemption. »

« Oui, ma fille, si toutes les âmes de bonne volonté entraient dans ce silence priant et mortifié, elles obtiendraient ce silence du monde troublé, ce recueillement, cet apaisement préludant à la paix. »

« Il n’y a de paix que dans l’abandon total
à ma divine Providence. »

« Ma fille, je t ‘ouvre mon Cœur comme une « ville de refuge »
tu y trouveras ton abri
contre les attaques du démon et des hommes.
Il n’y a de véritable Paix qu’en Moi. »

« Je trouve mon royaume en l’âme qui se repose en Moi
comme en un havre de paix, après avoir effectué le passage
des choses de la terre aux choses du Ciel   »
( = Bienheureux les pacifiques,
car ils seront appelés enfants de Dieu. »

« Je t’invite à monter vers les régions sereines
de ma divine Paix d’où tu domineras tes ennemis.
Ne fais pas un pas en arrière pour redescendre afin de les combattre, que cessent tes combats ; tends vers Moi, ton Christ, tous tes efforts, voici que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »

« Donne-moi des joies de Créateur, je te donnerai des joies débordantes de néant comblé.
Donne-moi des joies de Rédempteur et Sanctificateur, et je te donnerai des joies enivrantes de misère relevée.
Alors, nous nous réjouirons ensemble — l’Ouvrier et son ouvrage —  je te ferai entrer dans la Joie de ton Seigneur. »

« La joie dans la vie pleine, on ne la trouve que dans le Nouveau Monde de l’Infini lorsqu’il est enfin découvert, lorsqu’on s’y meut à l’aise, jouant en ma Présence, agi par mon Action… L’entrée dans ce Royaume des Cieux est à ceux qui, ayant délaissé toute choses caduques, ont rajeuni tout leur être au Cœur même de Dieu, à ceux qui sont devenus les petits enfants du Père qui est aux Cieux. »

« Parce que tu as banni de ta vie les courants d’idées mondaines apportés par la radio et les lectures profanes qui sont comme un filet faisant l’homme captif de cette terre, je t’ai donné cette âme ailée, libre et joyeuse qui te permet de t’évader à tout instant de la terre pour habiter par avance le ciel, son silence et sa paix. »